Nous savions qu’il était difficile de recevoir des soins ophtalmologiques de qualité en Afrique centrale, mais nous ne savions pas que tant des facteurs devaient être réunis pour que de tels soins puissent être connus puis administrés.
E n effet, ce mercredi, comme un mercredi par mois, nous avons eu réunion avec Martin et Mathieu, deux membres de l’ONG Lumière pour le Monde qui lutte contre le cécité en Afrique, avec qui nous partirons, en février 2022, au Rwanda.
Cette fois-ci, la réunion était un peu particulière. Nous avons reçu des documents mettant en lumière les actions de certaines personnes d’Europe ou d’Afrique ayant un rôle dans la chaine des soins ophtalmologiques.
Par groupes de cinq, nous devions essayer de les comprendre et de faire des liens entre les différents personnages et, après cette étape importante, de faire un schéma représentatif de cette chaine.
Ensuite, est venu le tour des présentations et des « mini-débats » durant lequel Martin et Mathieu ont pu nous contredire ou ajouter des détails à nos affirmations.
Nous avons ainsi appris que, pour que des personnes d’Afrique centrale puissent avoir des soins adaptés à leurs maux, il ne fallait pas seulement des médecins bien formés ou des infrastructures adéquates mais aussi de la transmission d’informations par tous les canaux en Europe et dans les pays en question en Afrique, du matériel adapté, des moyens de transport pour aller chercher les habitants de villages reculés et surtout, de dons de l’Europe et du ministère de la santé des pays en question.
Ensuite, toujours par groupes, nous avons réfléchi aux activités que nous pourrions faire le jeudi 14 octobre, lors de la Journée mondiale de la Vue, pour « ouvrir les yeux » aux élèves qui ne savaient pas ce que c’était de les avoir fermés.
Héloïse Lienart
Sarah Debloq
pour le groupe « CNDK to Rwanda »